Unknown? Learn whom I am and follows I. [pv. Callum]

Une grande maison, bien caché au milieu de quelques hectares de terrain. Elle se dresse fièrement, imposante. C’est ici que vit la famille Adams dont le chef de famille est l’ambassadeur de l’Angleterre. Les rumeurs vont bon trains sur cette maison et ces habitants aussi bien humains qu’hybride. La maison est relativement paisible, on entend le pas des servant s’activant à leurs tâches, dans le salon des voix féminines discutent calmement de chose et d’autre, au premier un homme est assis dans un grand fauteuil à roulette, il lit une pile de document. Il semble froid et intimidant. Rien n’aurait pu gâcher cette harmonie parfaite, rien sauf le benjamin de la famille. Akira, un jeune homme dont beaucoup vous diront dû bien de lui même s’ils ont l’impression de ne pas le connaitre. Il est généralement au cœur de pas mal de rumeurs ou histoire parfois fausse parfois vrais. Justement quand on parle du loup, une voiture noir vitre teinté se gare en bas juste devant les marches conduisant à la porte d’entrée. De la voiture sort un jeune homme, sac en bandoulière tombant sur le côté, nœud cravache lâche, chemise légèrement ouverte les manches remonter jusqu’aux coudes, le veston et le pantalon noir, des gants blanc dépassant de sa poche gauche. Il grimpa les escaliers saluant à peine les servants aux parties animales qu’il rencontrait sur son chemin. Une fois dans sa chambre, le jeune homme balança son sac sur son lit. Le sac s’ouvrit et trois portefeuilles glissaient un rouge, un rose et un noir. Le garçon se retourna pour les fixer un moment avec un grand sourire, aucun des trois portes feuilles n’étaient à lui. Un voleur agile et le benjamin de la famille Adams : Akira. Le jeune homme troqua bien vite sa tenue d’étudiant pour une tenue plus « civile ». Le jeune homme mit donc à  haut à manches longues relativement légers donc le col en V se terminait au début de son torse. Il était de couleur crème assez classique. Il prit ensuite un jean assez moulant noir tout comme ces chaussettes courtes. A peine eut-il finit de passer son t-shirt qu’une personne frappa à la porte. Akira lui donna la permission d’entrer et une jeune hybride apparut dans l’encadrement de la porte avec une plateau sur lequel était posé un verre de soda et quelque biscuit ainsi qu’une pomme couper en morceau.  Elle entra et posa le plateau sur le bureau de l’humain qui la regardait passer dans l’uniforme de la maison  Adams. Quand elle repassa près du brun, ce dernier l’attrapa par les hanches la prenant contre lui. Alors que ces mains commençait à l’encerclé et qu’il allait déposer un baiser dans son cou, la jeune femme l’interrompus s’excusant lui expliquant que son maître, le père du garçon, lui avait confié une autres tâches.  Il la laissa donc s’en aller  sans rien dire même si  d’une certaine manière il était assez frustré d’avoir vu la jeune fille partir sans remord. Temps qu’il n’aurait pas sa propre créature à lui, il passerait toujours derrière son père. Cela devait changer ! C’est fort de cette idée qu’il sortit de sa chambre.

Il descendit rapidement les deux étages qui séparaient le bureau de son père à sa chambre. Marchant d’un pas déterminé vers la porte du bureau de son père. Sans frapper, il ouvrit en grand a porte du bureau faisant sursauter le plus vieux assis dans son siège.  Akira laissa tomber s’est deux mains à plats sur le bureau de son père qui l’observait étonné de voir son fils ici.

-Je veux un hybride à moi ! S’exclama-t-il sur son ton d’enfant capricieux.
-Comment ? fit le père essayant  de se reconcentrer après sa surprise.
-J’en sais rien, je verrais une fois là-bas. Répondit Akira se laissant tomber dans un siège fasse au bureau de son père.
-Pardon, je me suis mal exprimé. Pourquoi veux –tu ton propre hybride si soudainement ? Questionna le père fixant son fils de ces yeux gris.
- J’ai envie c’est tout. Je veux avoir une créature à mes côté toujours dévouer à moi et pas juste des servant… dit-il sans une once d’hésitation.

Son père hocha la tête accordant ainsi le droit à son fils d’avoir un hybride. Il prit son ordi pour rajouter de l’argent sur la carte de son benjamin. Ca, plus l’argent qu’il avait déjà sans compter les vols d’argent, le jeune homme avait de quoi s’offrir un splendide servant. Après avoir remercié son père, il sortit du bureau. Le brun passa ensuite dans la salle de repose des servants pour y trouver le chauffeur. Il demanda de resté à l’écoute de son  téléphone car il aurait besoins de lui dans la soirée. Il passa saluer sa mère et ces sœurs au salon avant de sortir.

Pour l’aller, l’humain avait choisi le bus qui s’arrêtait à deux pas de l’animalerie. Le voyage fut calme, Akira ne s’amusa même pas à voler les plus idiot qui laissé trainer leurs portables ou leurs porte monnaies laisser négligemment dans une poche. La voix du bus annonça l’arrêt pour l’animalerie, le bus freina, le brun descendit. Il resta un moment devant la vitrine de l’animalerie sans entrer avant de finalement pousser la porte de la boutique. Une boutique claire au mur jaune très lumineuse relativement propre. Le brun eut à peine le temps de regarder quelques cages qu’un vendeur lui sauta littéralement dessus. Son but aider Akira à trouver l’hybride lui allant le mieux. Avec calme et politesse, le brun salua le vendeur avant de lui expliquer ce qu’il cherchait : un hybride mâles ou femelle peut importer avec lequel il pourrait jouer. Comme il avait grandi avec les hybrides, ils savaient  comment gérer le moins dociles même si Aki préférait tout de même une certaine docilité. Pour terminer la liste de ces exigences, il voulait un hybride qui ne soit pas banal. Rapidement le vendeur le conduisit vers une cage, mais l’animal ne plut pas à Akira comme tous les autres qu’il lui montra. Très agacé par la situation, le brun quitta la boutique. Il se balada un peu entre les rues et pour calmer sa colère, il se décida à voler. Bien que la pêche ne fut pas fructueuse car il ne voulait pas s’attaquer au faible. C’est alors qu’un corps le percuta l’obligeant à se rattraper sur sa jambe arrière, sa main attrapa par reflexe les poignets de la personne en face  les levant au-dessus de la tête de l’inconnu.

-Tiens, qu’est –ce-que j’ai pêché là ?s’interrogea-t-il en souriant avant de lâcher sa prise au vu de partit animal du garçon qui l’avait percuté. Il continua sur un ton gentil et assez rassurant. Bonsoir, qui es-tu ? Que fais-tu l’as ?

[Hors-RP : Désolé du retard >.<]

M'enfuir comme ça, après ne plus avoir eu de nouvelle du tout, me donnait une sensation de liberté, je n'avais jamais cru pouvoir ressentir pareil liberté. Je volais pour me nourrir, je montrais les crocs devant les humains, bref, j'avais beau être une biquette, je n'avais pas le comportement de celle-ci. Après tout, à quoi cela est intéressant d'avoir un hybride qui possède les même mimiques que son ascendance ? Du moins c'est ce que je pense, et le supérieur aussi. Sinon il ne m'aurait pas appris à le détester pour que je sois d'un tout au caractère. Nidd' n'est qu'un logiciel qui régit cette ville, qui donne naissance à de nouvelles activité, tout en assurant la protection. Protection... sécurité assez rouillée. Pourquoi je dis ça ? Je suis en ce moment même entrain de marcher entre les bennes à ordures, mon regard orangé se braquant sur plusieurs choses à la suite, mes mirettes noires se focalisant sur un point. Ma chevelure devenu plus longue attaché en une longue natte, avec un flot de cheveux roux enflammé qui se balance sur mes épaules. Ma peau autrefois blanche est recouverte d'une fine pellicule de poussière, mon allure en elle-même est plus sauvage.... Si je n'avais pas ces cornes, j'aurais pu facilement me faire passer pour un hybride lion, avec ma queue longue et semblable à celle d'un félidé, mes crocs, mes oreilles me trahissant un peu certes, mais j'avais presque l'apparence d'un lion, mais je ne l'étais pas, tout simplement.

Après quelques minutes, je ne faisais pas attention à ce qu'il se passait, je ne regardais plus autour de moi, jusqu'à ce que je percute quelqu'un et me retrouve avec les poignets, bras en l'air, je jetais un regard écarquillé sur lui, serrant les dents en grondant longuement. Il a dit quoi là ? Lorsqu'il me lâcha, je me reculais pour montrer les crocs, ces semaines passées dehors ne m'avaient pas arrangé au niveau du caractère, m'échapper facilement de là-bas, de chez lui, était facile, après tout, c'est mon rêve de retrouver la liberté et de revoir Nidd', j'aimerais lui dire ma façon de penser, et ça je pense que j'aurais long à dire sur lui, pour lui. Ecran bleu du nom de Nidd', je te cracherais ce que je veux au visage. Je répondais toutefois à l'humain, je croisais les bras, j'étais nain, ouais et alors ? J'ai mes cornes qui me rajoute de la longueur, ouais c'est pour ça que ça râle en voyant que je suis nain et que sur la fiche ils comptes mes centimètres en plus avec mes cornes.

« Un p'tit poisson ! », lui crachais-je déjà dessus, j'allais m'adoucir pour les beaux yeux d'un mec. « Simba m'sieur ~ Et ce que je fais..... bah je marche quelle question. »

Pour me foutre encore plus de sa gueule, je lui offris un sourire, tout en pokant son ventre u bout des doigts, bougeant la queue, comme si j'étais content, et pourtant, je ne faisais que jouer la carte du rôle, on m'avait déjà appris à ne montrer qu'un côté, paraître doux, gentil, mignon, pour ensuite les lacérer et les laisser sur le bas côté de la route. Je passais mes griffes dans mes cheveux, allant ensuite sur la naissance d'une corne, la parcourant dans sa longueur comme pour gratter, mais surtout pour détendre. Je lui adressais un regard sincère, un regard assez doux, alors que j'allais au bout de quelques secondes retrouver ce regard fougueux, d'animal mis en liberté.

« Au faite ! Tu pourrais t'excuser ! J'aurais pu t'embrocher, mais ça c'est pas grave, c'est le fait de me salir qui l'aurait été.... », lâchais-je encore une fois.

J'étais habillé justement 'un short assez court, avec un pull trop grand, qui glissais le long de mes épaules, je portais en-dessous un débardeur bleu marine, mais je ressemblais surtout à un gosse accoutré comme je l'étais, malgré mon âge, et quel âge, il faut l'avouer, je ressemble à un mioche de dix-sept, dix-huit ans, alors que j'étais plus âgé, mais on s'en foutait, ça me permettait surtout d'être mieux vendu et d'avoir un peu plus de client, c'est ce que mon premier maître m'avait dit. Je le regardais longuement, en haussant un sourcil.

Akira énervé et frustré de n’avoir trouvé ni hybride, ni personne à voler rentrait chez lui sans faire bien attention à ce qui l’entourait. C’est comme ça qu’il se retrouva à percuter un étranger. Par réflexe de défend, il avait saisi l’homme pour lui bloquer les poignets au-dessus de sa tête. Il le relâcha aussi sec quand il eut fini de l’examiner. Le garçon en face de lui était un hybride à la tignasse rousse dont la tenue devait se vouloir « mignonne ». Il devait avoir dans les dix-huit ans tout au plus voir même jeune. Akira grimasse un peu devant la saleté du garçon, sa peau était grisâtre à cause de la crasse et ces cheveux gras et surement plutôt abimer. C’était bien dommage ! Le jeune voleur était sûr que si l’animal prenait un bain, coupait juste les pointes de ces cheveux et changeait de tenue, il sera très mignon. Le brun sentait ce genre de chose, il était capable de voir la beauté au-delà de ce qu’il avait sous les yeux même si généralement il préférait ne pas se foulé et prendre un mignon qui s’occupe bien de lui. Le gars en face de lui semblait aussi menteur que l’était Akira, il faisait semblant d’être tout mignon pour mieux le faire tomber dans son piège. A façon d’être et d’agir, l’étudiant pouvait affirmer de manière sûre que le roux en face de lui était libre depuis peu. Comment pouvait-il en être aussi certain ? Généralement, les rebelles étaient libres depuis longtemps avait un foyer ou une cachette près d’un point d’eau pour pouvoir boire et se laver. Pourquoi se laver ? Car si les forces anti-rebelle leurs demandaient pourquoi il était dehors sans humain, il était plus crédible propre que sale pour se faire passer pour un hybride docile. De deux généralement les rebelles étaient bien meilleurs comédiens. Le garçon devant lui pouvait lui faire les yeux doux autant qu’il voudrait le jeune homme avait vu clair dans son jeu pourtant il décida de faire semblant lui aussi. La différence s’est que Akira faisait qu’à moitié semblant vu qu’une grande partit était une de ces multiples facettes. Il manqua tout de même ronchonner quand le jeune homme au partit animal vient lui poker le ventre. La réponse du garçon à propos de ce qu’il faisait là, eut pour effet de provoquer un léger rire.

-Evidemment que je suis sot. Ria le brun avant de poser ces yeux gris sur l’autre tout sourire. Je voulais dire que fais-tu ici seul ? De plus, tu m’as l’air d’être dans la rue depuis un bout de temps.

Le jeune homme en face de lui se mit presque à le gronder parce qu’ils s’étaient rentrée dedans accidentellement et qu’une des cornes risque selon ces propres mots « l’embrocher » même si ce qui gênait vraiment le garçon c’est le fait qu’il risquait de lui tacher ces « beau vêtement ». C’est vrais le sang tâche fortement et par pas au lavage. Mais il n’avait pas fini sa phrase, mais à moins d’être complètement stupide tout le monde avait compris que le mot manquant était « gênant » ou tous synonymes. Akira trouvait cela plutôt drôle comme situation vu que le garçon aux longs cheveux roux était couvert de crasse. Il ne put donc pas se s’empêcher de faire un petit commentaire restant quand même polie et courtois.

-C’est vrais votre tenue est déjà en sale état, il ne faudrait pas que cela s’aggrave.

Soudain le garçon eut une idée. Une idée qu’il pensait bonne, mais qui ne l’était pas forcement. Akira n’avait pas trouvé d’hybride à son gout, mais le garçon devant lui semblait très intéressant. Bien, qu’il paraisse un peu rebelle, mais le brun était certain qu’il pourrait en faire quelque chose.

-Dis, tu sembles être à la rue depuis peu. Viens à la maison, te nettoyer et prendre un bon repas non-voler. Proposa-t-il très gentiment.